poème sur les loulous de la spa
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ode
Franck
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Forum des bénévoles promeneurs de chiens de la SPA de Montpellier :: Bénévole mode d'emploi :: Messages entre nous
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poème sur les loulous de la spa
j'essaye de faire un petit poème sur les loulous de la spa ( avec l'aide du net )
et je suis tombé sur de très beau et émouvant poème .Alors faite des très gros calins
a nos loulous lors des promenades , ils les méritent amplement !!!!!!!!
Les voici :
Message d'un petit chien...
Quand je naîtrai, tu me choisiras,
Et pour la vie tu me garderas,
Et si parfois dans ta maison je m'oublie
Pardonne-moi je suis encore petit
Tu verras quand je grandirai
Propre, très sage, je deviendrai,
Je ne te demanderai presque rien
Une caresse et un peu de pain,
En échange, je veillerai sur tes biens
Et ne laisserai personne importuner les tiens
Mon amour et ma fidélité grandiront pour toi
Tu seras mon univers, mon avenir et ma joie
Tu seras mon seigneur et mon maître
Ton esclave et ton enfant je veux être
Sans hésiter, je te donnerai ma vie
Mais, s'il te plait, je t'en supplie
Ne m'abandonne pas....
======================================================
Poème du vieux chien abandonné:
Je guette tristement, à travers le grillage.
Désespéré j'attends, qu'on me sorte de ma cage.
J'ai envie de Hurler, mais je n'ai plus de voix.
tu m'as abandonné, il y a longtemps déjà.
Maintenant je suis vieux, on passe sans me voir.
les larmes dans les yeux, je crie mon désespoir.
Personne ne tend la main, j'ai froid et je m'ennuie.
Je n'ai plus goût à rien, j'ai perdu l'appétit.
Je ne peux plus dormir , je revois mon passé.
Demain je vais mourrir , je vais tout oublier.
=====================================================
Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
Depuis deux ans je purge, d'avoir trop cru en toi.
Tous les jours je t'attends, certains que tu viendras,
Tous les soirs je m'endors, sans que tu ne sois là.
Pourtant je suis certains, je te reconnaîtrai,
Viens me tendre une main, je te la lécherai.
Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
Que tu me caressais, que je dansais de joie.
Que c'est il donc passé, pour que ce 16 juin,
Heureux que tu étais, je me rappelle bien,
Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
Que tu m'aies attaché, là, devant cette église.
Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais,
Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais.
Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays,
Mais quand tu reviendras, moi j'aurai trop vieilli.
Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
Mon corps s'épuise, et mon cœur se morfond.
Je n'ai plus goût à rien, et je deviens si laid,
Que personne, jamais, ne voudra m'adopter.
Mais moi je ne veux pas, que l'on me trouve un maître,
Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
Pour toutes illusions, enfin leur enlever.
Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner,
A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
Et je suis sûr, tu vois, qu'ensemble nous saurions,
Vivre des jours heureux, en réconciliation.
Pour cela, je suis prêt, à faire de gros efforts,
A rester prés de toi, à veiller quand tu dors,
Et à me contenter, même si j'ai très faim,
D'un vulgaire petit os, et d'un morceau de pain.
Je n'ai jamais rien dit, lorsque tu m'as frappé,
Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
Tu avais tous les droits, j'étais à ton service,
Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices.
Tu m'as mis à la chaîne, ou tu m'as enfermé,
Tu m'as laissé des jours, sans boire et sans manger,
J'ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit,
Paralysé, raidi, tellement j'avais froid.
Pourtant, si tu reviens, nous partirons ensemble,
Nous franchirons en chœur, la porte qui ressemble,
A celle d'une prison, que je ne veux plus voir,
Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,
Puis l'infirmière, et le vétérinaire plus loin,
Ils entrent dans l'enclos, et leurs visages blêmes,
En disent long pour nous, sur ce qu'ils nous amènent.
Je suis heureux, tu vois, car dans quelques instants,
Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami,
Je dormirai toujours, grâce à l'euthanasie.
Et s'il t'arrive un jour, de repenser à moi,
Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d'émoi,
Pour toi, j'étais " qu'un chien ", tu préférais la mer,
Tu l'aurais su avant, j'aurai payé moins cher."
L'ABANDON EST UN CRIME !!!
UN ASSASSINAT !!!
UN MEURTRE !!!
et je suis tombé sur de très beau et émouvant poème .Alors faite des très gros calins
a nos loulous lors des promenades , ils les méritent amplement !!!!!!!!
Les voici :
Message d'un petit chien...
Quand je naîtrai, tu me choisiras,
Et pour la vie tu me garderas,
Et si parfois dans ta maison je m'oublie
Pardonne-moi je suis encore petit
Tu verras quand je grandirai
Propre, très sage, je deviendrai,
Je ne te demanderai presque rien
Une caresse et un peu de pain,
En échange, je veillerai sur tes biens
Et ne laisserai personne importuner les tiens
Mon amour et ma fidélité grandiront pour toi
Tu seras mon univers, mon avenir et ma joie
Tu seras mon seigneur et mon maître
Ton esclave et ton enfant je veux être
Sans hésiter, je te donnerai ma vie
Mais, s'il te plait, je t'en supplie
Ne m'abandonne pas....
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Poème du vieux chien abandonné:
Je guette tristement, à travers le grillage.
Désespéré j'attends, qu'on me sorte de ma cage.
J'ai envie de Hurler, mais je n'ai plus de voix.
tu m'as abandonné, il y a longtemps déjà.
Maintenant je suis vieux, on passe sans me voir.
les larmes dans les yeux, je crie mon désespoir.
Personne ne tend la main, j'ai froid et je m'ennuie.
Je n'ai plus goût à rien, j'ai perdu l'appétit.
Je ne peux plus dormir , je revois mon passé.
Demain je vais mourrir , je vais tout oublier.
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Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
Depuis deux ans je purge, d'avoir trop cru en toi.
Tous les jours je t'attends, certains que tu viendras,
Tous les soirs je m'endors, sans que tu ne sois là.
Pourtant je suis certains, je te reconnaîtrai,
Viens me tendre une main, je te la lécherai.
Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
Que tu me caressais, que je dansais de joie.
Que c'est il donc passé, pour que ce 16 juin,
Heureux que tu étais, je me rappelle bien,
Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
Que tu m'aies attaché, là, devant cette église.
Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais,
Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais.
Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays,
Mais quand tu reviendras, moi j'aurai trop vieilli.
Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
Mon corps s'épuise, et mon cœur se morfond.
Je n'ai plus goût à rien, et je deviens si laid,
Que personne, jamais, ne voudra m'adopter.
Mais moi je ne veux pas, que l'on me trouve un maître,
Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
Pour toutes illusions, enfin leur enlever.
Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner,
A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
Et je suis sûr, tu vois, qu'ensemble nous saurions,
Vivre des jours heureux, en réconciliation.
Pour cela, je suis prêt, à faire de gros efforts,
A rester prés de toi, à veiller quand tu dors,
Et à me contenter, même si j'ai très faim,
D'un vulgaire petit os, et d'un morceau de pain.
Je n'ai jamais rien dit, lorsque tu m'as frappé,
Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
Tu avais tous les droits, j'étais à ton service,
Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices.
Tu m'as mis à la chaîne, ou tu m'as enfermé,
Tu m'as laissé des jours, sans boire et sans manger,
J'ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit,
Paralysé, raidi, tellement j'avais froid.
Pourtant, si tu reviens, nous partirons ensemble,
Nous franchirons en chœur, la porte qui ressemble,
A celle d'une prison, que je ne veux plus voir,
Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,
Puis l'infirmière, et le vétérinaire plus loin,
Ils entrent dans l'enclos, et leurs visages blêmes,
En disent long pour nous, sur ce qu'ils nous amènent.
Je suis heureux, tu vois, car dans quelques instants,
Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami,
Je dormirai toujours, grâce à l'euthanasie.
Et s'il t'arrive un jour, de repenser à moi,
Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d'émoi,
Pour toi, j'étais " qu'un chien ", tu préférais la mer,
Tu l'aurais su avant, j'aurai payé moins cher."
L'ABANDON EST UN CRIME !!!
UN ASSASSINAT !!!
UN MEURTRE !!!
Franck- Messages : 266
Date d'inscription : 23/10/2011
Re: poème sur les loulous de la spa
ces poëme sont très beaux ils retracent helas la réalité , ce que nous voyons dans les yeux de nos loulous de noé , le dernier est particulierement poignant c'est malin il m'a fait chouiner !!!!
ode- Messages : 386
Date d'inscription : 03/10/2009
Age : 73
Localisation : vendargues
Re: poème sur les loulous de la spa
J'en ai les larmes aux yeux.Il faudrait les mettre sur facebook et autres sites pour que les gents le lisent et se reconnaissent dans cet acte terrible pour un Animal quel-qui soi l" Abandon".
chris- Messages : 747
Date d'inscription : 14/06/2009
Age : 68
Localisation : st jean de vedas
Re: poème sur les loulous de la spa
Voila mon petit poème sans prétention
Vous mes loulous que je promène
Sachez de tout mon coeur que je vous aime
Tes sauts de joie quand je rentre dans ta cage
Ton collier au cou et hop tu deviens sage
Arriver au toutou bar , tu me lèche la main
Et moi en toute simplicité , je te fais un câlin
Des croquettes a gogo car tu as faim
Un peu d'eau car tu en as besoin
Tous ces gens que tu vois en orange
Ont un grand coeur car se sont des anges
Ils viennent te promener , te dorloter
Et surtout te faire adopter
Car passer sa vie dans une cage
Est un supplice d'un autre age
Je vous dédie mon poème plein d'espoir
Car je ne veux plus , ici , vous revoir
Dans cette prison vilaine
Vous mes loulous que j'aime
Vous mes loulous que je promène
Sachez de tout mon coeur que je vous aime
Tes sauts de joie quand je rentre dans ta cage
Ton collier au cou et hop tu deviens sage
Arriver au toutou bar , tu me lèche la main
Et moi en toute simplicité , je te fais un câlin
Des croquettes a gogo car tu as faim
Un peu d'eau car tu en as besoin
Tous ces gens que tu vois en orange
Ont un grand coeur car se sont des anges
Ils viennent te promener , te dorloter
Et surtout te faire adopter
Car passer sa vie dans une cage
Est un supplice d'un autre age
Je vous dédie mon poème plein d'espoir
Car je ne veux plus , ici , vous revoir
Dans cette prison vilaine
Vous mes loulous que j'aime
Franck- Messages : 266
Date d'inscription : 23/10/2011
Re: poème sur les loulous de la spa
TRES BIEN DIT CA FAIT PLEURER MERCI POUR LES LOULOUS.
ELISABETH- Messages : 447
Date d'inscription : 05/12/2009
Age : 66
Localisation : VIC LA GARDIOLE
Re: poème sur les loulous de la spa
Bravo Franck pour ce charmant poème, qui vient du coeur.
On sent que tu les aimes ces loulous, qui n'ont pas mérité de se retrouver en prison.
Merci pour tout le bonheur que tu leur donnes en venant les promener !
On sent que tu les aimes ces loulous, qui n'ont pas mérité de se retrouver en prison.
Merci pour tout le bonheur que tu leur donnes en venant les promener !
lola- Messages : 52
Date d'inscription : 05/09/2010
Re: poème sur les loulous de la spa
mon 2eme et dernier poème , car ce forum doit être rempli d'espoir , de joie et d'amour et pas de mélancolie . Et je suis de nature optimiste
le voici :
priver de toute ta liberté
y aura t il quelqu un pour te sauver
un jour de cette prison maudite
toi qui est si triste
mon loulou , mon ami
j entends ton coeur blessé ici
toi qui nous regarde si tendrement
avec ces yeux si boulversant
toi qui ne pense qu a jouer
toi qui est si plein de vitalité
te voir enfermer , me fais pleurer
sache qu un jour tu auras ta liberté
au mieux tu seras adopter
au pire tu seras piquer
mais comme il y a toujours une fin
au paradis tu iras rejoindre les tiens
il y aura toujours aussi un benevolle pour te soigner
et pendant un bref instant t aimer
toi qui rend au centuple l'amour que l on te donne
j espere qu un jour tu nous pardonne
de t'avoir si lachement abandonner
nous les humains sans pitié
le voici :
priver de toute ta liberté
y aura t il quelqu un pour te sauver
un jour de cette prison maudite
toi qui est si triste
mon loulou , mon ami
j entends ton coeur blessé ici
toi qui nous regarde si tendrement
avec ces yeux si boulversant
toi qui ne pense qu a jouer
toi qui est si plein de vitalité
te voir enfermer , me fais pleurer
sache qu un jour tu auras ta liberté
au mieux tu seras adopter
au pire tu seras piquer
mais comme il y a toujours une fin
au paradis tu iras rejoindre les tiens
il y aura toujours aussi un benevolle pour te soigner
et pendant un bref instant t aimer
toi qui rend au centuple l'amour que l on te donne
j espere qu un jour tu nous pardonne
de t'avoir si lachement abandonner
nous les humains sans pitié
Franck- Messages : 266
Date d'inscription : 23/10/2011
Re: poème sur les loulous de la spa
Coucou Franck, j'ai déplacé ton sujet dans une rubrique que tout le monde peut voir, sans être forcément inscrit, comme ça un plus grand nombre pourra les découvrir.
Valérie- Messages : 1733
Date d'inscription : 17/04/2009
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